đCode Civil
Chapitre I. GENERALITES
†Article 1.0
Les citoyens ont des droits, mais Ă©galement des devoirs :
Lâobligation de respecter les diffĂ©rents textes de loi en vigueur.
Lâobligation de payer son amende au moment de lâĂ©mission de celle-ci par les autoritĂ©s.
Le droit de vote.
Le droit de circuler en toute libertĂ© sur le territoire, tout en respectant la lĂ©gislation en vigueur sur les zones dont lâaccĂšs est restreint ou interdit.
Le devoir dâassistance. Toute personne ne portant pas assistance Ă autrui se voit passible de poursuites pour non-assistance Ă personne en danger.
Le droit de porter une arme, dans le respect de la législation en vigueur.
Le droit Ă la crĂ©ation dâune entreprise et/ou dâune association sous rĂ©serve dâacceptation du gouvernement aprĂšs soumission dâun dossier.
La libertĂ© dâexpression dans le respect de lâordre public et des bonnes mĆurs.
Le droit de la presse Ă condition de respecter la vie privĂ©e dâautrui, le principe de diffamation et dâinjure.
†Article 1.1-1
La propriĂ©tĂ© est le droit de jouir et disposer des choses de la maniĂšre la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibĂ© par les lois ou par les rĂšglements. Chaque citoyen sera autorisĂ© Ă possĂ©der 1 rĂ©sidence maximum sur lâĂźle au moment de la remise des clĂ©s.
En cas dâachat de multiples propriĂ©tĂ©s ou dĂ©pendance qui rentrerait Ă l'encontre des rĂšgles susmentionnĂ©es, lâĂtat oĂč/et sur acceptation du ministĂšre de la justice peut se rĂ©server le droit dâinterdire Ă lâindividu lâachat de propriĂ©tĂ© de maniĂšre temporaire et Ă durĂ©e indĂ©terminĂ©e. Lâindividu sera Ă©galement amendĂ© Ă hauteur de 50% du prix du bien sur le contrat par le tribunal et se verra retirer ses clĂ©s retirĂ©es par la NC Immo sans prĂ©avis.
Les particuliers ont la libre disposition des biens qui leur appartiennent, sous les modifications Ă©tablies par les lois, dĂšs lâinstant oĂč ils possĂšdent un acte de propriĂ©tĂ© dĂ©livrĂ© par les autoritĂ©s compĂ©tentes (Gouvernement, NC Immo).
†Article 1.1-2
Les biens qui n'appartiennent pas Ă des particuliers sont administrĂ©s et ne peuvent ĂȘtre aliĂ©nĂ©s que dans les formes et suivant les rĂšgles qui leur sont particuliĂšres, pour rappel, la vente de biens commerciaux directement entre particuliers est interdite.
†Article 1.1-3
Les biens des personnes qui décÚdent ou quittent la ville appartiennent systématiquement à l'Etat.
†Article 1.2
Alerte Jaune : MENACE IMPRECISE
Mesures locales face à des risques faibles, les accÚs aux bùtiments publics sont libres. Aucune mesure n'est prise, et les citoyens sont autorisés à porter leurs armes personnelles sur eux, dans le respect de l'article 1.0 du chapitre III du Code Pénal.
Alerte Orange : MENACE PLAUSIBLE
PrĂ©vention sur les risques dâune attaque terroriste considĂ©rĂ©e comme plausible. Les accĂšs aux bĂątiments publics sont restreints. Les contrĂŽles radars et de la circulation sont plus frĂ©quents. Les citoyens ne sont pas autorisĂ©s Ă porter des armes de catĂ©gorie 2 ainsi que le Mousquet et Revolver sur eux. Toute autre catĂ©gorie est autorisĂ©e dans le respect de l'article 1.0 du chapitre III du Code PĂ©nal.
Alerte Rouge : MENACE PROBABLE
PrĂ©venir le risque dâattentat majeur. La fouille est autorisĂ©e sans raison par le NCPD. Des visites et contrĂŽles dâaccĂšs aux aĂ©roports (mĂȘme privĂ©s) peuvent ĂȘtre menĂ©es. Le trafic aĂ©rien peut ĂȘtre interrompu. La circulation peut ĂȘtre coupĂ©e sur certaines sections de voirie. Aucun accĂšs et stationnement devant les bĂątiments publics nâest tolĂ©rĂ©. Les citoyens ne sont plus autorisĂ©s Ă porter d'armes Ă feu sur eux, quelle qu'en soit la catĂ©gorie et le type dâarme (CatĂ©gorie 1, 2, ainsi que le Chasse et SpĂ©cial, Revolver).
Alerte Ăcarlate : MENACE CERTAINE
PrĂ©venir le risque dâattentat majeur. La fouille est autorisĂ©e sans raison par le NCPD. Des visites et contrĂŽles dâaccĂšs aux aĂ©roports (mĂȘme privĂ©s) peuvent ĂȘtre menĂ©es. Le trafic aĂ©rien peut ĂȘtre interrompu. La circulation peut ĂȘtre coupĂ©e sur certaines sections de voirie. Aucun accĂšs et stationnement devant les bĂątiments publics nâest tolĂ©rĂ©. Les citoyens ne sont autorisĂ©s Ă porter aucune arme sur eux, mĂȘme les armes blanches quelle qu'en soit la catĂ©gorie et le type.
†Article 1.3-1
Toutes personnes souhaitant passer le permis de port dâarme, se doit dâavoir un casier vierge de tout crime et dĂ©lit.
†Article 1.3-2
Toute personne souhaitant passer l'examen du barreau se doit d'avoir un casier vierge de tout crime et délit.
†Article 1.3-3
Toute personne physique possĂ©dant un casier judiciaire non vierge peut formuler une demande de rĂ©vocation auprĂšs du MinistĂšre de la Justice. Avant de formuler sa demande, le citoyen doit s'ĂȘtre tenu Ă un mois de bonne conduite ; deux mois dans le cas oĂč un/des crime(s) de sang figurent dans son casier judiciaire. Le MinistĂšre de la Justice aura la charge de traiter la demande. Si la demande est acceptĂ©e, le MinistĂšre de la Justice dispose de 72 heures pour transmettre une notification de rĂ©vocation de casier judiciaire signĂ©e par le/la Ministre de la Justice ou Juge en Chef.
†Article 1.3-4
Les personnes ayant un casier judiciaire pour possession d'armes sans posséder la licence adéquate peuvent obtenir la licence permettant de posséder une arme à feu, aprÚs une période de deux semaines.
Les personnes ayant un casier pour cause de possession d'armes non répertorié dans les textes de loi ne pourront passer la licence pour aucune arme à feu.
†Article 1.4
La vente de vĂ©hicules renforcĂ©s âtype blindĂ©â, sont exclusifs aux membres du Gouvernement, du MinistĂšre de la Justice, et de lâĂtat Major. En cas de non-respect, le vĂ©hicule sera saisi immĂ©diatement de maniĂšre dĂ©finitive.
†Article 1.5
Sauf sous autorisation de lâĂ©tat-major, ou si masquĂ©, le policier exerçant ses fonctions en uniforme se doit de fournir sont matricule si celui-ci lui est demandĂ© par quiconque.
†Article 1.6
Lâexpropriation est une procĂ©dure qui permet Ă une personne publique de contraindre un particulier ou une personne morale Ă cĂ©der son bien immobilier si celui-ci nâa pas respectĂ© la loi ou les rĂšgles mises en place.
†Article 1.7-1
Le personnel du MinistĂšre de la Justice, Bureau du Procureur et titulaire du barreau de New City sont soumis au secret dâinstruction.
Ces personnels sont Ă©galement soumis aux rĂšgles dâintĂ©gritĂ© et de droit dĂ©finis par ces prĂ©sents codes, toutes violations de ces principes pouvant mener Ă des poursuites devant la Cour.
†Article 1.7-2
Toutes personnes voulant exercer dans les métiers de la justice (Juge - Procureur - Avocat) se doit de préparer et d'obtenir l'examen du barreau.
Pour se faire, il doit se rapprocher du responsable de la branche qu'il souhaite rejoindre (Juge en Chef, Procureur GĂ©nĂ©ral, Avocat GĂ©nĂ©ral) afin de se prĂ©parer et de passer l'Ă©preuve thĂ©orique. Une Ă©preuve pratique sous forme de procĂšs fictif doit ĂȘtre rĂ©alisĂ©e pour la rĂ©ussite totale de l'examen sous la supervision d'au moins 2 responsables de branches. Il peut ĂȘtre rĂ©voquĂ© et dĂ©mis par requĂȘte du MinistĂšre de la Justice.
†Article 1.7-3
Tout magistrat (avocat, juge, procureur) ne pourra ĂȘtre destituĂ© que sâil est reconnu coupable dâune peine allant Ă lâencontre de sa fonction, et Ă la suite dâune procĂ©dure judiciaire, afin de conserver son indĂ©pendance au regard de lâĂtat.
Un juge fĂ©dĂ©ral peut ĂȘtre mandatĂ© afin de prĂ©sider lâinstruction.
†Article 1.7-4
Tout prĂ©venu se prĂ©sentant devant un juge pour une convocation pĂ©nale ou dans le cadre d'un procĂšs en civil peut s'auto-reprĂ©senter ou peut ĂȘtre reprĂ©sentĂ© par un avocat. Si le citoyen souhaite ĂȘtre reprĂ©sentĂ© par un avocat, celui-ci devra en faire la demande dans un dĂ©lai de 72h avant son procĂšs afin de prĂ©parer au mieux la dĂ©fense. Lâavocat peut refuser de reprĂ©senter un client si le dĂ©lai nâest citĂ© ci-dessus nâest pas respectĂ©.
Toute non-prĂ©sence Ă son procĂšs sans demande de report prĂ©alablement faite fera l'objet d'un mandat d'arrĂȘt. Au bout du deuxiĂšme mandat d'arrĂȘt, les services de douanes expulsent par avion l'individu pour refus de se prĂ©senter devant la justice.
†Article 1.7-5
Dans le cas oĂč un citoyen n'aurait pas les revenus suffisants pour rĂ©munĂ©rer un avocat. Une aide juridictionnelle sera apportĂ©e sous condition de preuve.
La demande devra en ĂȘtre faite lors du procĂšs et ce sera au juge de confirmer ou d'infirmer cette demande
†Article 1.8
Pour toute facture impayĂ©e suite Ă une plainte de la sociĂ©tĂ© en question, la NCPD devra transmettre lâinformation auprĂšs du ministĂšre. Une convocation sera Ă©mise afin de prĂ©senter la personne devant la Cour, au palais de justice. Le/la Juge en Chef accordera ou non un dĂ©lai pour payer la facture en question. Si au bout de ce dĂ©lai la facture n'est toujours pas rĂ©gularisĂ©e la personne se verra expulsĂ©e du territoire par le service des douanes.
Chapitre II. DROIT DE LâAUTORITĂ PARENTALE, DE LA FAMILLE ET DU DIVORCE
†Article 1.0
A tout Ăąge, parents et enfants se doivent un respect mutuel.
†Article 1.1
L'autorité parentale est un ensemble de droits et de devoirs accordés aux parents jusqu'à la majorité de l'enfant (18 ans) afin de le protéger et lui apporter sécurité, santé et éducation pour permettre son développement physique et psychologique. Celle-ci doit s'exercer sans violences, qu'elles soient physiques ou psychologiques. Sera privé de l'autorité parentale tout parent incapable d'exprimer sa volonté, que ce soit en raison d'une incapacité, de son absence ou de toute autre cause. Si l'un des parents décÚde ou se voit privé de son autorité parentale, l'autre parent se devra de l'exercer seul.
†Article 1.2
Chacun des parents doit contribuer Ă l'Ă©ducation et Ă l'entretien de son enfant, Ă proportion de ses possessions.
Le présent article décrit une obligation, et tout manquement peut entraßner une perte de l'autorité parentale et du droit de garde de l'enfant.
†Article 1.3
Dans le cas d'une sĂ©paration des parents, celle-ci se doit d'ĂȘtre sans incidence pour l'enfant, et pour l'exercice de l'autoritĂ© parentale des parents. Chacun d'eux doit continuer d'avoir des relations personnelles avec l'enfant, tout en respectant le lien qu'il a avec l'autre parent.
†Article 1.4
Dans le cas oĂč un Juge dĂ©crĂšte qu'il est dans l'intĂ©rĂȘt de l'enfant que l'un des parents soit privĂ© de son droit d'autoritĂ© parentale, celui-ci pourra confier l'exercice de l'autoritĂ© parentale Ă l'un des deux parents.
Le Juge pourra également priver l'autre parent de son droit de visite et d'hébergement pour des motifs graves (ou suivant les éléments de son casier judiciaire).
Si le parent possédant l'exercice de l'autorité parentale le demande, le Juge peut limiter le droit de visite à un espace de rencontre pré-désigné.
Lorsqu'il est jugĂ© que la visite peut prĂ©senter un danger pour l'enfant ou son tuteur, celle-ci peut ĂȘtre accompagnĂ©e d'un agent des forces de l'ordre afin de garantir la sĂ©curitĂ© de la rencontre.
†Article 1.5
Si la protection de l'enfant l'exige, le Juge peut décider de retirer le droit de garde aux deux parents, et de le confier à un tiers :
Un membre de la famille ou un tiers digne de confiance ;
Un service ou à un établissement habilités à l'hébergement des mineurs ;
Un service ou un Ă©tablissement scolaire.
†Article 1.6
Peut se voir retirer, temporairement ou définitivement, la garde de son enfant tout parent :
Reconnu coupable d'un crime ou d'un délit jugé dangereux pour la sécurité de l'enfant ;
Présentant une consommation excessive et habituelle d'alcool ou de stupéfiants ;
Présentant un comportement délictueux ou plusieurs inconduites ;
Fait subir des pressions physiques ou psychologiques Ă l'enfant ;
Présente un danger immédiat à la sécurité, la santé ou l'intégrité morale de l'enfant ;
PrĂ©sente un danger immĂ©diat Ă la sĂ©curitĂ©, la santĂ© ou lâintĂ©gritĂ© de lâautre parent ;
Mets directement en danger la sécurité, la santé ou l'intégrité morale de l'enfant ;
Mets directement en danger la sĂ©curitĂ©, la santĂ© ou lâintĂ©gritĂ© morale de lâautre parent.
†Article 1.7
Un enfant dont la filiation est Ă©tablie Ă l'Ă©gard de chacun des parents peut porter l'un des noms suivants :
Le nom du pĂšre ;
Le nom de la mĂšre ;
Un nom composé des deux noms accolés, séparés d'un espace dans l'ordre choisi par les parents.
Un enfant dont la filiation est Ă©tablie Ă l'Ă©gard d'un seul parent portera le nom dudit parent.
En cas de désaccord entre les parents, l'enfant portera un nom composé des deux noms accolés par ordre alphabétique.
†Article 1.8
Toute crĂ©ation de liens lĂ©gaux entre deux personnes ou plus doit se faire par contrat et avec accord du MinistĂšre de la Justice (adoption, mariage, âŠ).
La modification de lâĂtat Civil est Ă la charge du Gouvernement.
†Article 1.9
Les Ă©poux peuvent consentir mutuellement Ă un divorce, et lâofficialiser Ă lâaide dâun contrat de divorce contresignĂ© par un avocat, qui se chargera de le transmettre au Gouvernement ainsi quâau MinistĂšre de la Justice.
Lâun des Ă©poux, sâil se sent en danger, peut demander Ă un Juge dâentamer une procĂ©dure de divorce judiciaire. Dans ce cas, une injonction dâĂ©loignement sera Ă©mise Ă lâencontre du conjoint.
†Article 1.10
Dans le cas dâun consentement mutuel, les Ă©poux gĂšrent la sĂ©paration des biens dâeux-mĂȘmes.
Dans le cas dâun divorce judiciaire, le Juge statuera sur la sĂ©paration des biens et sur le droit de garde dans le cas oĂč le couple ait un enfant.
Chapitre III. PRINCIPE DE LIBRE CIRCULATION
†Article 1.0
Toutes personnes à le droit à la libre circulation au sein de la ville excepté aux endroits indiqués ci-dessous :
La base militaire
Les propriétés privées
Le porte avion (Sauf entreprise concernée / contrÎle de douanes)
La prison
Les institutions ( Commissariats, HÎpitaux, Mairies, Gouvernements, Tribunaux ⊠)
†Article 1.1
Le droit Ă la libre circulation de chaque citoyen doit respecter les articles du Code de la route.
†Article 1.2
LâaccĂšs aux propriĂ©tĂ©s privĂ©es est rĂ©servĂ© Ă son propriĂ©taire. Toutes tierces personnes ne pourront accĂ©der aux propriĂ©tĂ©s dâautrui quâuniquement sur invitation. Le NCPD pourra accĂ©der aux propriĂ©tĂ©s privĂ©es avec un mandat, avec un avis de recherche ou une prise en flagrant dĂ©lit comme dĂ©fini dans le Code PĂ©nal.
Chapitre IV. DROIT DE MANIFESTER
†Article 1.0
Est considĂ©rĂ© comme manifestation sur la voie publique tout regroupement de personne Ă lâoccasion dâun Ă©vĂ©nement organisĂ© par une tierce personne ou une association. Toute manifestation doit au prĂ©alable faire lâobjet dâune demande auprĂšs du Gouvernement, ou Ă dĂ©faut, du MinistĂšre de la Justice, afin que celle-ci soit autorisĂ©e.
Toute manifestation doit ĂȘtre encadrĂ©e et sĂ©curisĂ©e par la NCPD en cas d'indisponibilitĂ© de ceux-ci. La fouille est obligatoire dans le cadre de la fonction, peu importe le genre.
Les rassemblements et manifestations peuvent ĂȘtre interdits temporairement par dĂ©cret pour des raisons de sĂ©curitĂ© publique.
†Article 1.1
La ou les personnes organisatrices seront chargĂ©es par le Gouvernement de prĂ©venir les autoritĂ©s du dĂ©roulĂ© de la manifestation. Ces personnes seront tenues pour responsables en cas de dĂ©bordement dĂ» Ă un manquement dâorganisation.
La fouille est obligatoire dans le cadre de la fonction de lâagent du NCPD, peu importe le genre.
Toute manifestation peut ĂȘtre dispersĂ©e par les forces de l'ordre en cas de dĂ©bordement. Suivant la gravitĂ© desdits dĂ©bordements, les auteurs peuvent ĂȘtre placĂ©s en garde Ă vue et l'organisateur peut se voir poursuivi en Justice.
DerniĂšre mise Ă jour