đCode du Travail
Chapitre I. LES CONTRATS DE TRAVAIL
†Article 1.0
Lors de toute embauche, lâemployeur devra soumettre et faire signer le contrat dâembauche au salariĂ© dans un dĂ©lai de 48 heures aprĂšs sa prise de fonctions. Le contrat dâembauche devra ĂȘtre conservĂ© par le salariĂ© et lâemployeur jusquâĂ un dĂ©lai de deux semaines aprĂšs licenciement ou dĂ©mission.
En cas de contrĂŽle et d'absence de contrat de travail, le salariĂ© sera considĂ©rĂ© comme illĂ©gal et le propriĂ©taire de l'entreprise pourra ĂȘtre amendĂ© Ă raison de 250 $ par employĂ© contrevenant.
†Article 1.1
Le contrat se doit dâĂȘtre le plus clair possible et dâĂ©noncer le cadre lĂ©gal des activitĂ©s que devra rĂ©aliser le salariĂ©.
Chapitre II. LES LICENCIEMENTS
†Article 1.0
Tout licenciement doit ĂȘtre justifiĂ© de la part de lâemployeur. Un dĂ©lai de 15 minutes entre lâannonce du licenciement et la mise en application doit ĂȘtre respectĂ© de la part de lâemployeur et l'employĂ©. Lâemployeur se doit de rĂ©gler le solde de tout compte auprĂšs de lâemployĂ© ainsi que lâargent Ă©ventuellement dĂ» suite Ă un cumul.
†Article 1.1
Le salariĂ© peut contester son licenciement sous deux semaines auprĂšs dâun avocat qui se chargera de saisir la Cour de Justice. Si le licenciement est considĂ©rĂ© comme Ă©tant sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse pour le fonctionnement ou lâimage de lâentreprise, des indemnitĂ©s seront versĂ©es en fonction de lâanciennetĂ© du salariĂ© au sein de lâentreprise et du prĂ©judice portĂ©.
†Article 1.2
Un licenciement pour faute grave peut ĂȘtre engagĂ© Ă lâencontre dâun salariĂ©. Cependant, la faute grave doit ĂȘtre prouvĂ©e et les preuves doivent ĂȘtre conservĂ©es par lâemployeur pendant un dĂ©lai de quatre semaines aprĂšs le licenciement.
Chapitre III. RĂGLEMENTATION SUR LE TRAVAIL
†Article 1.0
A partir du moment oĂč une personne prend son service, elle se doit dâutiliser le matĂ©riel mis Ă disposition par lâentreprise afin de rĂ©aliser ses activitĂ©s. En cas de licenciement, lâemployĂ© se devra de restituer Ă lâentreprise tout le matĂ©riel lui ayant Ă©tĂ© prĂȘtĂ©.
†Article 1.1
Les salariĂ©s jouissent du droit de grĂšve. Toutefois, lâexercice de ce droit ne doit pas consister en une occupation abusive des locaux ou un blocage qui empĂȘcherait le reste des employĂ©s dĂ©sireux de travailler dâoccuper leur poste de travail.
Lâemployeur ne peut licencier un employĂ© exerçant son droit de grĂšve sauf faute grave de celui-ci.
Il est à préciser que chaque jour de grÚve est un jour non payé.
Les services publiques n'ont, par principe aucun droit de grÚve du à leur fonction. Les membres du gouvernement, des mairies ou similitude sont également concerné.
†Article 1.2
Toute discrimination due Ă lâorigine, le sexe ou le physique lors dâune embauche est strictement interdite et peut ĂȘtre fortement rĂ©primandĂ©e si la Cour de Justice est saisie.
†Article 1.3
Les professions qui rĂ©pondent Ă un intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral (MĂ©decins, Avocats, Juges, Procureurs, Policiers, Pompiers, Gouvernement...) devront prĂ©senter un casier judiciaire vierge de crimes et de dĂ©lits.
Si ces personnes sont mĂȘlĂ©es Ă une affaire en cours, elles ne pourront pas exercer leur profession jusqu'Ă ĂȘtre blanchies sous accord du Juge en Chef en fonction.
Si elles sont condamnées dans une affaire pénale, elles ne pourront plus exercer leur profession si l'affaire concerne une des conditions de restriction.
†Article 1.4
Tout PDG achetant la propriĂ©tĂ© dâune entreprise se doit de faire fonctionner son entreprise pour une durĂ©e minimale de 6 semaines. Tout abandon prĂ©maturĂ© de lâentreprise entraĂźnera une amende de 3000 $ de dollars Ă verser au Gouvernement.
†Article 1.5
La solde maximale autorisée par semaine pour les entreprises publics et privées:
La limite est fixĂ©e Ă 10'000 $ par employĂ©. (EmployĂ©s, Chefs d'Ăquipes, Co-PDG, PDG)
Au PDG de l'entreprise de fixer et définir les salaires de ses employés.
AprĂšs paiement des diffĂ©rentes charges imputables au bon fonctionnement de lâentreprise et de la masse salariale.
Tout PDG/GĂ©rant/Directeur ne respectant pas ces montants sâexposera Ă des poursuites judiciaires et/ou saisie de lâentreprise ainsi que la saisie des Ă©ventuels surplus.
†Article 1.5-1
Aucune prime supplĂ©mentaire aux montants des salaires maximum notĂ©s dans l'article 1.5 ne peut ĂȘtre ajoutĂ©e sous aucune circonstance (sauf article 1.5-2 ou article 1.5-1 pour les services publiques).
Les risques encourus peuvent ĂȘtre une saisie de lâargent donnĂ© en trop Ă l'employĂ© ainsi quâune amende pĂ©cuniaire Ă lâencontre de la sociĂ©tĂ© qui sera adressĂ©e au PDG/ GĂ©rant/ Directeur dâun montant Ă©quivalant Ă 20% du surplus donnĂ©. En cas de rĂ©cidive, l'entreprise risque une saisie.
Le NCES/NCFD ou le NCPD/BCSO/G6 uniquement, aprĂšs accord du Gouvernement, Ă lâautorisation de donner une prime exceptionnelle hebdomadaire Ă ses employĂ©s dâun montant maximum pouvant atteindre les 500 $.
†Article 1.5-2
Une prime exceptionnelle peut ĂȘtre Ă©mise aux employĂ©s dâune entreprise si un Ă©vĂ©nement a lieu durant la semaine en cours et est organisĂ© par lâentreprise concernĂ©e.
L'Ă©vĂ©nement doit ĂȘtre justifiable dans votre comptabilitĂ© en cas de contrĂŽle.
Le montant maximal de cette prime pour une entreprise privée est de 300 $ et de 600 $ pour une entreprise publique ou appartenant au Gouvernement.
Les montants sont individuels et donc par employé.
†Article 1.6
Le contenu des coffres dâune entreprise privĂ©e appartient au propriĂ©taire de lâentreprise, qui pourra disposer de ces biens de la façon dont il lâentend. A contrario, le contenu des coffres dâune institution publique (NCES,NCPD, BCSO, NCFDâŠ) appartient au Gouvernement.
†Article 1.7
Les chefs d'entreprises ne sont pas autorisé à engager des agents de sécurité privé pour des soirées ou des événements. La seule entreprise habilitée à assurer la sécurité sera Gruppe 6.
Le PDG n'a pas l'autorisation d'employĂ© un salariĂ© en tant qu'agent de sĂ©curitĂ© ou similaire Ă©galement. Un licenciement sans prĂ©avis peut ĂȘtre mis en place pour le DOJ, validĂ© par un Juge.
†Article 1.8 : Visite médicale d'embauche
Tout nouvel employé est tenu de solliciter une visite médicale dans un délai maximal de 7 jours suivant sa date d'embauche. En cas de non-respect de ce délai, l'employé sera passible d'une amende de 300 $.
†Article 1.8-2
En cas de non-respect du délai mentionné à l'article 1.8.1, l'employé est passible d'une amende ou d'une sanction, dont la nature sera déterminée par les autorités compétentes.
†Article 1.8-3
Le coût de la visite médicale est fixé à 20 $. Toutefois, le remboursement de cette somme est conditionné à un accord mutuel entre l'employeur et l'employé. L'hÎpital délivre un justificatif de visite à chaque employé ayant effectué sa visite médicale.
†Article 1.8-4
En cas de non-présentation à la visite médicale, l'employé est redevable d'une somme de 10 $ en plus des 20 $ initiaux, soit 50% du montant initial. Cette somme est à la charge exclusive de l'employé.
†Article 1.8-5
Si les conditions de travail Ă©tablies par l'employeur ne respectent pas les recommandations Ă©mises par le mĂ©decin lors de la visite mĂ©dicale, l'employeur est exposĂ© Ă une amende de 1000 $ et Ă une peine de 200 TIG (Travaux d'IntĂ©rĂȘt GĂ©nĂ©ral). En cas de rĂ©cidive, l'employeur risque une saisie de l'entreprise.
†Article 1.8-6
En cas d'inaptitude temporaire constatée lors de la visite médicale d'embauche, l'employé ou l'employeur doit respecter scrupuleusement les recommandations du médecin quant à la durée et aux conditions de l'inaptitude. Tout manquement à ces recommandations, que ce soit par l'employé ou par l'employeur, constitue une infraction.
†Article 1.8-7
En cas de non-respect des recommandations mĂ©dicales concernant une inaptitude temporaire par l'employeur, celui-ci sera passible d'une amende de 1000 $ et de la suspension immĂ©diate de tout pouvoir dĂ©cisionnel concernant l'employĂ© en question pour une durĂ©e indĂ©terminĂ©e. En cas de rĂ©cidive, des sanctions plus sĂ©vĂšres pourront ĂȘtre appliquĂ©es, incluant la rĂ©vocation de la licence d'exploitation de l'entreprise.
†Article 1.8-8
En cas de non-respect des recommandations mĂ©dicales concernant une inaptitude temporaire par l'employĂ©, celui-ci pourra ĂȘtre passible d'une amende de 600 $ et d'une suspension de son contrat de travail pour une durĂ©e dĂ©terminĂ©e par l'employeur, conformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales en vigueur. Dans ce cas, l'employĂ© conserve ses droits et avantages liĂ©s Ă son emploi, Ă l'exception de la rĂ©munĂ©ration pendant la pĂ©riode de suspension.
†Article 1.8-9
L'employé en situation d'inaptitude temporaire est tenu d'informer son employeur de tout changement dans son état de santé et de respecter les recommandations médicales pour faciliter son retour au travail dans les meilleures conditions.
†Article 1.8-10
L'employeur est tenu de mettre en place des mesures de soutien et d'adaptation au travail pour faciliter le retour de l'employé en situation d'inaptitude temporaire dans l'entreprise, conformément aux recommandations médicales et aux dispositions légales en vigueur.
†Article 1.9
L'employeur est tenu de mettre en place des mesures de sécurité incendie dans sa société et de prendre attache avec le NCFD pour élaborer les plans de secours. Et également tenu de mettre à disposition dans ses coffre au minimum 1 extincteur.
†Article 2.0
Limitation de la RĂ©cupĂ©ration de Salaires par les SalariĂ©s Les salariĂ©s dâune sociĂ©tĂ© ne peuvent rĂ©cupĂ©rer un montant Ă©quivalent Ă plus de 14 jours de salaire au sein de leur entreprise, quelle que soit la nature de la rĂ©cupĂ©ration (versement exceptionnel, avance sur salaire, prime, etc.).
Le PDG de lâentreprise ou toute autre personne en charge de la gestion salariale est formellement interdit de verser Ă un salariĂ© une somme dĂ©passant lâĂ©quivalent de deux semaines de salaire, dans le cadre des dispositifs de rĂ©cupĂ©ration ou dâavances.
Toute violation de cette disposition pourra entraßner des sanctions disciplinaires et financiÚres à l'encontre du PDG, conformément aux lois en vigueur.
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